L’agent immobilier (AI) reste souvent la cible d’acquéreurs ou vendeurs... venant se plaindre d’un manquement à son devoir d’information, de conseil, voire d’une annonce trompeuse. Mais où en est-on, au vu de la jurisprudence récente ?
Ce contenu est réservé aux abonnés.
Si vous faites déjà partie de nos abonnés, connectez-vous ici.
Pas encore d’abonnement ? Vous pouvez souscrire à cette solution en ligne sur notre webshop.
Vous pourrez profiter de nombreux avantages en vous abonnant.