Langue du contrat 
72194
Au stade d'un avant-contrat passé par acte sous seing privé, aucune règle particulière n'impose l'usage de telle ou telle langue. Mais il va de soi que la validité du consentement donné par les parties, en tout cas si le droit français est applicable à la formation du contrat (n° 72158), et partant la validité de la vente elle-même, impose une parfaite compréhension, littérale et juridique, des clauses du contrat par le vendeur et l'acquéreur (M. Revillard et C. Géraud : J.-Cl. Notarial Formulaire, v. Vente d'immeuble - Etrangers fasc. 380, n° 116). Si l'une des parties ne comprend pas ou comprend mal la langue de rédaction de la promesse de vente, il conviendra de lui en fournir une traduction fidèl...

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